Abécédaire de
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Hybride - Wikipédia
En génétique, l'hybride est le croisement de deux individus de deux variétés, sous-espèces (croisement intraspécifique), espèces (croisement interspécifique) ou genres (croisement intergénérique) différents. L'hybride présente un mélange des caractéristiques génétiques des deux parents. Lors de croisements interspécifiques, le terme métis est aussi utilisé.
L'hybridation est toutefois différente de la manipulation génétique dans la mesure où l'hybridation, même si elle est peut être provoquée par l'homme, peut aussi se produire naturellement.
Hybridation et éthique
En 2008, la chambre des lords britannique a rejeté un amendement déposé par Lord Alton dans le cadre du projet de loi Fertilisation humaine et embryologie visant à interdire la production de tels hybrides, mais ceux-ci ne pourront être produits que pour des embryons qu'on laissera "vivre" 14 jours au plus (avec implantation in utero interdite), et après autorisation de la Human Fertilisation and Embryology Authorityh (HFEA), si celle-ci considère la recherche proposée comme nécessaire, et après examen d'éventuelles autres alternatives. Les deux premières autorisations, données au Royaume-Uni ont concerné des hybrides cytoplasmiques (ou « cybrides ») à 99,9% humains et à 0,1 % animal (mitochondries respectivement de vaches et de lapins
Rétrocroisement
Le rétrocroisement sert à transférer un ou quelques gènes désirables d'un parent donneur à un parent récepteur par ailleurs acceptable. Il nécessite un croisement répété de nouveaux hybrides au parent récurrent et la sélection du gène désiré du parent donneur.
Hybrides interspécifiques
Quelques exemples :
- triticale : hybride de blé tendre et de seigle ;
- clemenvilla : hybride de clémentine et de tangerine ;
- festulolium : hybride de fétuque et de ray-grass ;
- aprium et pluot : hybrides de prunier et d'abricotier ;
- caseille : hybride de cassissier et de groseillier épineux ;
- limequat : hybride de kumquat et de lime (Citrus aurantiifolia × C. fortunella) ;
La mutagenèse est une approche de génétique pour comprendre la fonction des gènes, elle consiste en l'introduction volontaire de mutations par l'action d'agents chimiques ou physiques dans une séquence ADN. Certains composés chimiques ressemblent suffisamment aux bases azotées pour être incorporés à leurs places dans l'ADN. Ce sont des analogues de bases qui pourront se lier à n'importe quelle base du brin complémentaire contrairement à la règle d'appariement des bases dans l'ADN. Ils peuvent donc provoquer l'insertion face à eux de nucléotides incorrects. Par exemple, le 5-bromouracile (ou 5-BU) est un analogue de la thymine et le 2-aminopurine (ou 2-AP) est un analogue de l'adénine.
Maintenant voici des croisements que la science nous dit que c'est impossible ...... Est-ce que la science nous cacherait des choses ?????
Croisement entre Jument et orignal
La nouvelle ne s’est pas rendue à Montréal, mais a fait beaucoup parlé en Gaspésie et à Québec l’été dernier. Un propriétaire de chevaux résidant près de Paspébiac, sur les rives de la baie des Chaleurs, soutient qu’une de ses juments a donné naissance à un poulain issu d’un accouplement avec un orignal! L’animal en question se distingue des poulains normaux par certaines caractéristiques qui, aux yeux du propriétaire, le rapprochent de l’orignal: il est haut sur ses pattes, ses oreilles sont longues et poilues, son museau est plus courbé que celui du cheval et il aurait deux petites bosses sur la tête préfigurant un panache. De plus, la gestation chez la jument est de 11 mois et le propriétaire affirme, preuves à l’appui, avoir fait castrer ses deux seuls étalons 12 mois avant la naissance, en mai dernier, du poulain aux allures singulières.
Selon Denis Vaillancourt, professeur à la Faculté de médecine vétérinaire, des accouplements entre orignaux et juments, entre taureaux et juments et même entre bisons et vaches ont déjà été observés. «Ces choses peuvent arriver en milieu naturel lorsque des femelles sont particulièrement réceptives, dit-il. Des expériences ont aussi été menées entre chevaux et zèbres en captivité.
Et voilà où je veux en venir ............... car je veux prouver que le Croisement en espèces différentes est possible voire a toujours existé mais qu'on nous le cache sciemment et malicieusement......
Allons-y ..................
Dans le cas qui nous occupe, le professeur estime que «la probabilité que le poulain soit issu d’un croisement entre un orignal et une jument est presque nulle à cause de l’incompatibilité physiologique et chromosomique entre les deux espèces, qui ne sont même pas de la même famille».
QUAND LES SCIENTIFIQUES SOVIETIQUES TRAVAILLENT AU CROISEMENT ENTRE L'HOMME ET LE SINGE ...
Pour ce qui est de la base scientifique dans cette histoire, il faut savoir l’Homme et le chimpanzé sont deux espèces très proches. On estime que la différence génétique entre les deux espèces serait de l’ordre de 1% grosso modo au niveau de l’ADN. Cela dit, la différence du nombre des chromosomes ......... Ivanov et ses petits camarades socialistes se penchent sur la possibilité de créer des croisements inédits entre espèces, désignés sous les terme d’hybride ou d’hétérosis.Alors qu’il travail à l’Institut Pasteur en 1924 à Paris, Ilya Ivanovich Ivanov obtient la permission des directeurs de l’Institut de partir à Kindia, en Guinée Française, pour travailler sur ses éternels projets d’insémination sur des primates. Il en profite alors pour tenter de gagner également l’appui du gouvernement soviétique et adresse plusieurs lettres à Anatoliy Vasilievich Lunacharsky, le Commissaire au Peuple à l’Education et la Science. Judicieusement, puisqu’il obtient finalement l’aval de l’Académie des Sciences qui lui concède même l’équivalent de 10 000 dollars pour travailler sur ses travaux d’hybridation Homme-Chimpanzé.
Presque deux ans plus tard, en mars 1926, Ivanov débarque une première fois à Kindia et y passe un mois sur place. Sans succès pourtant puisqu’une fois sur place, il constate qu’il n’y a malheureusement aucune femelle chimpanzé mature. Qu’à cela ne tienne, il revient un an plus tard, supervise la capture de chimpanzés adultes et insémine artificiellement trois femelles chimpanzés avec du sperme humain, qui, ironie de l’histoire, n’est même pas le sien. Même si l’information disponible à ce propos est peu importante, il semble qu’Ivanov n’ait jamais agi en totale transparence avec sa hiérarchie, côté français en tout cas. Il quitte finalement l’Afrique quatre mois plus tard avec un goût d’échec dans la mesure où aucune des femelles chimpanzés ne tombe enceinte. Par ailleurs, dans son esprit de Russe tordu, Ivanov avait également envisagé qu’il n’y aurait aucun problème à trouver des femmes africaines prêtent à se laisser inséminer avec du sperme de chimpanzé. Evidemment, ce couillon s’était trompé sur toute la ligne et les femmes locales lui firent comprendre qu’il pouvait aller se faire foutre. Mais le Russe est têtu.
Dès lors, il est décidé qu’au moins cinq femmes devront se porter volontaires et donner leur accord écrit pour que le projet soit entériné. Chaque femme devra reconnaitre explicitement qu’elle accepte les risques et se pliera au régime d’isolation strict requis par l’expérience. Par ailleurs, les expériences devaient être conduites avec tout un panel de garanties, incluant notamment la prévention contre l’insémination naturelle. On voit que les Russes n’avaient pas encore la fibre du porno zoophile.
Oliver (né vers 1958) est un chimpanzé commun et un singe anciens effectuant fois promue comme un chaînon manquant ou " Humanzee "en raison de son exceptionnelle humain comme le visage et une tendance à marcher debout . Malgré son apparence quelque peu inhabituelle et le comportement, les scientifiques ont déterminé dans les années 1990 que Oliver n'est pas un hybride humain-chimpanzé. Oliver a été acquis comme un jeune animal (environ 2 ans [2] [ lien mort ]) en 1960 par des formateurs et Janet Frank Berger. Soi-disant, le chimpanzé avait été pris dans la République démocratique du Congo (alors République du Congo). Certaines preuves physiques et comportementaux conduit les Bergers de croire Oliver était une créature autre qu'un chimpanzé, peut-être un hybride humain-chimpanzé: Oliver possède un plat que son visage chimpanzés compatriotes; Oliver était habituellement bipède (avant d'être frappé avec l'arthrite ), ne marche jamais sur les jointures de ses doigts comme ses pairs des chimpanzés, et Oliver peut avoir préféré les femelles humaines sur les femelles chimpanzés. [2] Lors d'un Décembre 16, 2006 Discovery Channel spéciaux, Janet Berger-même affirmé que Oliver était de devenir attiré à elle quand il atteint l'âge de 16 ans . [3] Il lui monté et essayé de s'accoupler avec elle. Après avoir essayé plusieurs fois, il est devenu évident que Oliver était une menace pour Janet, et a dû être vendue.
Oliver. Après un tollé des médias à partir des années 1970, Oliver a reçu le statut d'un «humanzee» ou d'un croisement entre un humain et un chimpanzé. En d'autres termes, un hybride. Les journalistes du monde entier ont été surpris par cette créature bizarre qui avaient des caractéristiques très particulières que l'on ne devrait normalement pas associer à un singe.
Oliver, avec un autre chimpanzé, a été porté par Frank Burger en provenance d'Afrique vers le New Jersey dans les années 1960. Dès le début, Frank et son épouse Janet remarqué que Oliver était différent des autres chimpanzés ils ont été formés.D'un âge très petit, Oliver pouvait marcher sur deux jambes, un exploit qui n'est pas des singes beaucoup peuvent atteindre et même si elles sont enseignées à le faire, ils ne peuvent que soutenir pendant une courte durée. Oliver avait de nombreuses caractéristiques du visage qui n'étaient pas courantes dans les autres grands singes. Il avait une petite tête chauve avec des oreilles pointues et une petite nez. Cette différence physique signifiait que Oliver a été exclu par les autres singes qu'il était entouré par.
Mais cela n'a pas empêché Olivier se livrant à des caractéristiques humaines. Oliver préféré la compagnie des humains et que regarder la télévision et de fumer un cigare. Après Frank est mort, sa veuve, Janet était en charge de l'exécution des singes qu'ils formés et qu'elle croyait que Oliver était un Humanzee. Elle croyait qu'il était comme «un homme petit".
Certaines autres personnes proches de la famille Burger a estimé que "quelque chose est là». Dans quel jeu complètement différent de les autres singes Oliver était quand il a atteint sa maturité, Oliver a commencé à avoir une attirance très forte à son propriétaire Janet Burger et, parfois, il ne serait pas la quitter.
Avec un singe qui était un peu comme un humain en lice pour son amour, Oliver a ensuite été envoyé à une Miller avocat Michael Oliver qui a apporté à l'exposition médiatique. Oliver a atteint de telles hauteurs de succès médiatique qu'il était partout dans les journaux et les nouvelles et a même été transporté au Japon.
Tristement, pour les neuf prochaines années, sa maison était une petite cage, dont la taille restreinte a entraîné l'atrophie musculaire , au point que des membres d'Oliver tremblait. En 1996, Sharon Hursh, président de la Société Buckshire, après avoir été saisie par Principalement primates , une organisation créée par Wallace Swett en 1978, a permis de prendre sa retraite dans la colonie Buckshire du 13 chimpanzés.
Un généticien de l' Université de Chicago a examiné Oliver chromosomes en 1996 [6] et a révélé que Oliver avait 48, et non pas 47, les chromosomes, réfutant ainsi l'affirmation plus tôt qu'il n'avait pas un nombre de chromosome normal pour un chimpanzé. Morphologie crânienne d'Oliver, de la forme des oreilles, des taches de rousseur et à l'automne la calvitie dans la fourchette de variabilité exposées par le chimpanzé commun. [7] Les scientifiques ont effectué des études supplémentaires avec Oliver, dont les résultats ont été publiés dans l'American Journal of Physical Anthropology
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Oliver, le singe croisé avec un humain
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La Grande-Bretagne autorise la création d'un embryon mi-homme mi ...
08 septembre 2007, 14 h 32La Human Fertilisation and Embryology Authority (HFEA, l'autorité britannique pour la fertilisation et l'embryologie humaine) a décidé d'autoriser la création d'embryons mi-hommes mi-animaux à des fins de recherche. Les scientifiques souhaitant utiliser ces embryons devront cependant toujours déposer leur demande auprès de l'HFEA.«Après avoir étudié les résultats de recherche, l'autorité a décidé qu'il n'y avait aucune raison fondamentale d'empêcher les activités de recherche sur l'hybride cytoplasmique. Cependant, l'opinion publique est très divisée. On constate généralement une opposition à ce type de recherche, sauf si les activités sont étroitement règlementées et si elles peuvent contribuer à des progrès dans le domaine scientifique ou médical», peut-on lire dans une déclaration de l'HFEA. Les chercheurs du monde entier utilisent les cellules souches d'embryons humains pour leurs activités de recherche, dans l'intention de mieux comprendre de nombreuses maladies. Beaucoup de chercheurs pensent que les cellules souches embryonnaires peuvent mener à de nouveaux traitements. À l'heure actuelle, les scientifiques doivent se contenter d'ovocytes humains issus de traitement contre la stérilité. Cependant, la quantité des ovocytes est relativement faible et ces derniers ne sont pas toujours de bonne qualité. L'utilisation d'ovocytes animaux, qui présente moins de restrictions, permet aux scientifiques de faire de grandes avancées.
Le feu vert est donne pour fabriquer des embryons "humain-animal ...
«L'approche à adopter face à la recherche sur les hybrides à la fois humains et animaux et sur les chimères constitue un défi particulier. La décision de l'HFEA est complexe étant donné l'aspect innovant de cette recherche en termes juridique, scientifique et éthique», peut-on lire dans la déclaration de l'HFEA. La décision a été prise suite à une consultation détaillée qui a rassemblé les opinions de scientifiques et du grand public sur les questions soulevées par ce type de recherche. Le résultat ? Le «feu vert total n'a pas été donné pour la recherche sur l'hybride cytoplasmique», insiste l'HFEA. Cependant, «le public a admis que cette recherche, si elle est menée avec beaucoup de précaution et de surveillance, pouvait être autorisée».La déclaration de l'HFEA prétend que le public reconnaît la valeur des activités de recherche mi-humaine mi-animale ; cependant, il souhaite clairement être informé des activités poursuivies par les chercheurs. Cela confirme l'importance d'une meilleure communication concernant la recherche de la part des scientifiques mais également de l'HFEA, déclare l'autorité.
Une infirmière retraitée a eu l'occasion de visiter un bâtiment caché au public d'un célébre hôpital parisien ( il y a 30 ans environs) ou étaient logé les enfants anormaux qui servait de cobailles pour les médecins.
elle a tenu 5 min en voyant 3 enfants = un avec deux tètes un atteint de progeria ( vieillissement prématuré ) et un autre que les médecins de l’époque pensait que sa mère l'avait fait avec son berger allemand il avait la tète du-dit chien et était poilu et avec un corps qui était humain sauf les jambes mal-formée.
Qu'ils peuvent creer des embryons moitie-humain moitie-animal pour les tuer au bout de 14 jours, le but etant d'etudier l'embryon qui en resulte. D'ici qu'un chercheur un peu 'fou' decide de le laisser vivre apres 14 jours pour "voir", y a pas des km...
Je pense que cela a déjà du être expérimenté depuis longtemps... dans des labos "top-secret defense" par exemple. La réalité dépasse souvent la fiction et surtout notre imagination !!
Le croisement entre deux espèces a déjà été fait. On a même réussi à croiser une grenouille et un rat.
1 commentaire:
Une légende peut être mais il n'y jamais eu de fumée sans feu, même si ces légendes ont étéenjolivées
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